Dernière mise à jour : juin 10th, 2020 at 09:09 am
4/ Un casting au top
Côté casting, Vinyl s’offre des acteurs de choix. Dans le rôle du patron de label doué mais accro à la coke, Bobby Cannavale (Boardwalk Empire, Ant-Man) est époustouflant.
Face à lui, Olivia Wilde (Dr House, Cowboys & Aliens) campe Devon Finestra, la mère de ses enfants, une ancienne égérie d’Andy Warhol, qui va voir sa vie bouleversée par les choix d’un mari probablement beaucoup trop rêveur et joueur pour l’industrie féroce du disque.
Les autres acteurs comme Ray Romano, Ato Essandoh, Max Casella, P.J. Byrne, J.C. MacKenzie, Birgitte Hjort Sørensen et Paul Ben-Victor sont tout aussi performants. Deux d’entre eux vont avoir des trajectoires de personnages un peu plus suivies :
- Juno Temple dans le rôle d’une jeune assistante, Jamie Vine, qui rêve de faire partie de l’équipe artistique du label ;
- James Jagger, un des fils de Mick Jagger, dans le rôle de Kip Stevens, un leader de groupe de punk fictionnel The Nasty Bits.
Et bien entendu qui dit musique dit interprètes et Vinyl n’hésite pas à incarner à l’image les figures marquantes de l’époque — dont des concerts mémorables — comme Lou Reed (joué par Connor Hanwick) et le Velvet Underground, Alice Cooper (joué par Dustin Ingram), Robert Plant (joué par Zebedee Row) et Led Zeppelin, New York Dolls… et même Andy Warhol.