Dernière mise à jour : juin 1st, 2016 at 03:12 pm
I recently felt a craving for monster movies so I saw a lot of these in the past week. Among them, “The Last Winter”.
J’ai récemment ressenti une forte envie de voir des films de monstres, donc j’en ai regardé beaucoup cette semaine. Parmi eux, “The Last Winter”.
“The Last Winter” is one of those very slow horror movies where, basically, the accent is put on the psychological horror. I wouldn’t want to spoil the movie so I’ll try to be precise without listing the events of the movie.
“The Last Winter” is about a group of independant environmentalists who are preparing for an oil drilling operation working with the government at a northern arctic spot. When one team meamber goes insane and is found later naked dead in the snow, one of them thinks something has gone horrifically wrong in that cold region.
The Last Winter is typically one of these new ecologic thrillers like “The Day the Earth Stood Still” (remake), “The Happening” or other such movies, where the authors warn of the dangers that are awaiting us if we go on pillaging and mistreating our planet.
So the movie plays out like a very mysterious thriller, where the unknown awaits in the dark (or in the white snow in this case). Interestingly, the director came up with a number of very audacious choices. The death scenes are not treated like thriller scenes at all but rather like melodramatic tragic scenes, the action sequences also are mostly silent and projects us into the cold arctic winter. The characters are very distant to us, we do empathize with them, but there is always a kind of filter and distance.
The camera angles and this emotional distance with the characters remind me of Kubrick. A kind of reference to the imagery of the monolith is even given in the movie. The slow-paced, mysterious tone, though, points towards a Shyamalan style. The mystery unfolds itself at a very slow speed but it is well worth the wait. The ending is a magical moment unfolded in a cruel and bitter sadness. Despite some very confused plot points in the movie, it remains very intriguing.
Don’t watch this movie expecting a monster movie (even if it is one). It is more of a tragic drama, with some bits of mystery, love and horror thrown onto it.
However, the last 3 minutes are… unsatisfying and we are left feeling teased or cheated…This is really too bad, since the movie was great from the start up until these last 3 min.
Out of 20, this movie earns an easy 15.
VJ
Official website: http://www.thelastwinter.net.
J’ai récemment ressenti une forte envie de voir des films de monstres, donc j’en ai regardé beaucoup cette semaine. Parmi eux, “The Last Winter”.
“The Last Winter” est l’un de ces films d’horreur très lents, où l’accent est mis sur l’aspect psychologique de l’horreur. Je ne voudrais pas ruiner le film alors j’essaierai de ne pas trop en détailler le contenu.
Le film s’ouvre sur un groupe d’écologistes indépendants, travaillant avec le gouvernement pour preparer une opération de forage pétrolier dans un endroit éloigné en Arctique. Quand un membre de l’équipe disparaît et est retrouvé mort, nu dans la neige, l’un d’entre eux pense que quelque chose de terrifiant est présent dans cette région.
Ce film fait partie de ces nouveaux récits à suspense écologique comme “Le jour où la terre s’arrêta” (remake), “Phénomènes” et bien d’autres, où les auteurs avertissent des dangers qui nous attendent si nous continuons à piller et à maltraiter notre planète.
Aussi le film joue la carte du mystère lent, où le danger et l’inconnu attendent dans l’obscurité (ou dans la neige blanche dans ce cas précis). Pour ce film, le réalisateur utilise un certain nombre de choix très audacieux. Les scènes de mort ne sont pas traitées du tout comme des scènes de thriller mais plutôt comme des scènes tragiques, voire mélodramatiques ; les séquences d’action sont la plupart du temps sans musique et assez silencieuses, nous projettant dans cet hiver arctique. Les personnages sont attachants, même s’il existe toujours un filtre et une distance avec nous.
Les angles de prises de vues ainsi que la distance émotionnelle avec les personnages nous rappellent Kubrick. Une référence visuelle au monolithe de “2001” est d’ailleurs donnée dans le film. Quant à la tonalité lente et mystérieuse, elle rappelle plutôt Shyamalan. Le mystère se dévoile très lentement mais l’attente en vaut la peine. La fin est un instant magique enrobé dans une cruelle et amère tristesse.
Malgré quelques points scénaristiques très confus, le film reste intrigant. Ne vous attendez pas à voir un film de monstre (même si c’en est un) il s’agit plutôt d’un drame humain avec du mystère, de l’amour et de l’horreur.
Cependant, les 3 dernières minutes sont… décevantes et le spectateur se sent escroqué par le dernier plan. C’est dommage, puisque le film est magnifique du début à la fin (moins ces 3 minutes).
“The Last Winter” est l’un de ces films d’horreur très lents, où l’accent est mis sur l’aspect psychologique de l’horreur. Je ne voudrais pas ruiner le film alors j’essaierai de ne pas trop en détailler le contenu.
Le film s’ouvre sur un groupe d’écologistes indépendants, travaillant avec le gouvernement pour preparer une opération de forage pétrolier dans un endroit éloigné en Arctique. Quand un membre de l’équipe disparaît et est retrouvé mort, nu dans la neige, l’un d’entre eux pense que quelque chose de terrifiant est présent dans cette région.
Ce film fait partie de ces nouveaux récits à suspense écologique comme “Le jour où la terre s’arrêta” (remake), “Phénomènes” et bien d’autres, où les auteurs avertissent des dangers qui nous attendent si nous continuons à piller et à maltraiter notre planète.
Aussi le film joue la carte du mystère lent, où le danger et l’inconnu attendent dans l’obscurité (ou dans la neige blanche dans ce cas précis). Pour ce film, le réalisateur utilise un certain nombre de choix très audacieux. Les scènes de mort ne sont pas traitées du tout comme des scènes de thriller mais plutôt comme des scènes tragiques, voire mélodramatiques ; les séquences d’action sont la plupart du temps sans musique et assez silencieuses, nous projettant dans cet hiver arctique. Les personnages sont attachants, même s’il existe toujours un filtre et une distance avec nous.
Les angles de prises de vues ainsi que la distance émotionnelle avec les personnages nous rappellent Kubrick. Une référence visuelle au monolithe de “2001” est d’ailleurs donnée dans le film. Quant à la tonalité lente et mystérieuse, elle rappelle plutôt Shyamalan. Le mystère se dévoile très lentement mais l’attente en vaut la peine. La fin est un instant magique enrobé dans une cruelle et amère tristesse.
Malgré quelques points scénaristiques très confus, le film reste intrigant. Ne vous attendez pas à voir un film de monstre (même si c’en est un) il s’agit plutôt d’un drame humain avec du mystère, de l’amour et de l’horreur.
Cependant, les 3 dernières minutes sont… décevantes et le spectateur se sent escroqué par le dernier plan. C’est dommage, puisque le film est magnifique du début à la fin (moins ces 3 minutes).
Sur 20, ce film récolte un 15 facilement.
VJ
Site officiel : http://www.thelastwinter.net.
Les derniers articles par Vijay R. (tout voir)
- Archer, warning! New Cartoon Serie To Watch! / Attention ! Une nouvelle série animée à découvrir ! - 2010-03-11
- [Critique] “Mentalist” saison 2 - 2009-11-09
- [Review] “The Mentalist” season 2 - 2009-11-09
une sortie ciné est-elle prévue en France ?
Aux Etats-Unis, la sortie cinéma date de septembre 2007. En France, par contre, aucune date de sortie n'est annoncée.
A l'exception des festivals, le film a connu une sortie internationale assez limitée…
La sortie DVD semble avoir relancé un certain intérêt pour ce film, surtout du côté des amateurs de cinéma fantastique.