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LITTERATURE

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Critique / “L’embuscade” (2021) d’Emilie Guillaumin

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Émilie Guillaumin, trentenaire, a été fortement marquée par son engagement dans l’armée, dont elle a si longtemps rêvé pour échapper à une vie sans relief, faite d’études et de jobs routiniers. Après un premier livre, Féminine, fortement autobiographique, elle entre dans la fiction, avec L’embuscade chez Harper Collins. Néanmoins la documentation est solide avec durant plus de trois mois, la rencontre de veuves de soldats tombés au combat, et la visite de régiments des forces spéciales, notamment le 13e régiment de dragons parachutistes ou 13e RDP, communément appelé le Treize. Ceci était indispensable pour être au plus près de la …

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Critique / “Feu” (2021) de Maria Pouchet

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Parmi, les livres proposés par les éditeurs en cette rentrée littéraire de septembre 2021, Feu de Maria Pourchet émerge déjà au milieu de ses centaines de concurrents. Les lecteurs de magazines découvrent souvent, avec l’article sur ce livre, la photo de l’auteur, une mince jeune femme d’une quarantaine d’années souriante et tranquille. Attention de ne pas se fier à cette apparence : la jeune femme préfère  plus le vitriol que les bons sentiments. L’avis et la critique sur le livre. 

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Critique / “La fille qu’on appelle” (2021) de Tanguy Viel

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Fidèle aux Éditions de Minuit, depuis son entrée en littérature en 1998, Tanguy Viel aime les intrigues complexes qui se dévoilent progressivement, qui fleurent souvent le roman policier, avec une écriture ciselée, très cinématographique. Avec La fille qu’on appelle, le lecteur retrouve la distanciation de l’auteur par rapport aux évènements. Comme souvent des personnages peu favorisés affrontent des profiteurs, sans scrupules, issus d’une société privilégiée. L’avis et la critique du livre. 

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Critique / “Le Mississipi dans la peau” (2021) d’Eddy L. Harris

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En octobre 1986 Eddy L. Harris, dans sa trentième année, illustre inconnu, s’élançait en canoë depuis le lac Itasca, pour la descente du Mississipi. Cette performance hors normes donna vie en 1988 à Mississipi solo, au succès immédiat, traduit chez Liana Levi en septembre 2020. Trente ans plus tard, fin août 2016, le même homme réédite cette expérience mais « Le fleuve a changé. Le pays a changé. »  Avec Le Mississipi dans la peau toujours chez Liana Levi, en septembre 2021, c’est l’heure du bilan pour l’auteur, plus âgé, plus sage. La critique et l’avis sur le livre. 

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Critique / “Bélhazar” (2021) de Jérôme Chantreau : enquête sur la mort de son élève

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Jérôme Chantreau avec Bélhazar, aux éditions Phébus, part à la recherche d’un adolescent trop tôt décédé, un de ses anciens élèves, au pays basque. Dana, étudiante brillante, emportée par la maladie, est le déclencheur de son ouvrage relatif à Bélhazar, dédié « Aux enfants disparus ». L’avis et la critique du livre. 

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Critique / “Le grand saut” (2021) de Renaud Dély

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Dernière mise à jour : août 24th, 2021 at 11:42 pmBien connu du grand public comme journaliste de presse écrite, chroniqueur et animateur télé, coauteur de bandes dessinées, auteur d’ouvrages politiques, Renaud Dély, change de registre avec un récit très personnel, mêlant des moments de sa vie d’adolescent avec sa mère, à celle du champion olympique à la perche, Pierre Quinon, dans Le grand saut chez JC Lattès. La critique et l’avis sur ce livre de la rentrée littéraire 2021.

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Critique / « Nourrir la bête » d’Al Alvarez : la bête du risque

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Ce n’est pas si fréquent de lire la vie d’un grimpeur alpiniste décrite par un de ses compagnons de cordée. Le lecteur cherchant à répondre à un appel des cimes à travers la littérature rencontrera plus des récits de fiction (Frison Roche) ou des autobiographies (Lionnel Terray, Louis Lachenal ou pour associer aussi des Anglo saxons dont il est question ici Doug Scott ou Chis Bonington). Si le compagnon de cordée est un écrivain éclectique reconnu, la présomption du plaisir de lecture est forte. La critique et l’avis sur le livre Nourrir la bête. 

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Critique / “Mon maitre et mon vainqueur” (2021) de François Henri Désérable

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François-Henri Désérable aime à changer d’univers à chaque nouveau roman, en demeurant  fidèle à Gallimard. Le remarqué Tu montreras ma tête au peuple, sous la révolution, Évariste, la vie romancée du brillant mathématicien Évariste Gallois, Un certain M. Piekielny, personnage échappé de La Promesse de l’aube de Romain Gary, ont tous fait l’objet de nombreux prix. Titre d’un poème de Paul Verlaine, Mon maître et mon vainqueur est désormais aussi celui du dernier roman de l’ex-hockeyeur professionnel, une histoire d’amour insoluble au XXIe siècle. La critique et l’avis. 

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